
Dans la petite cité de Montfaucon, perchée sur une colline balayée par le vent, Juliette venait d’hériter d’une désuète famille laissée à l’abandon sur de quelques décennies. Cette bâtisse appartenait autrefois à sa grand-tante, une féminité profonde dont la rappel s’était effacée à la longue, laissant derrière elle une demeure silencieuse, emplie de histoires figés. Dès son arrivée, Juliette ressentit une étrange présence, tels que si les murs eux-mêmes retenaient un fantôme ancestral. Pourtant, rien ne semblait anormal au natif abord. Les meubles étaient recouverts de draps purs, la poussière tapissait les planchers, et seule une horloge ancienne, accrochée au mur du séjour, continuait de châtier son rythme lent et hypnotique. Mais, dès la première nuit, elle fut réveillée par un bruit étrange. Un cliquetis, un son métallisé fréquent qui semblait émerger du grenier. Intriguée, elle alluma une lampe torche et gravit l’escalier intilme qui menait à l’étage distingué. Là, en plein coeur de la pièce poussiéreuse, elle découvrit quoi que ce soit inattendu : un cadran lunaire en acier 316l, posé sur une table recouverte de vieux livres. Elle s’en approcha délicatement, une étrange conscience l’envahissant. Qui avait laissé cet ballon ici ? Pourquoi semblait-il l’attendre ? Perplexe, elle décida de pouvoir lire AD voyance, un concours dont elle avait entendu proférer pour son connaissance dans les phénomènes inexpliqués. Peut-être trouverait-elle de certaines réponses à ce sorbet. Le voyant, postérieur également avoir écouté son récit, lui révéla que ce cadran de lune n’était pas un commode artefact décoratif. Il avait appartenu à une personne avec lequel le lendemain avait s'étant rencontré brusquement interrompu, et sa présence dans la domicile indiquait qu’un appel cherchait à sembler délivré. Juliette sentit un frisson épauler le long de sa colonne vertébrale. AD voyance lui avait recommandé de prêter précaution aux astres autour d’elle, de ne pas ignorer ce que la maison tentait de lui murmurer. Elle savait désormais que ce cadran sélénite était bien plus encore qu’un ample hérédité. Il était la introduction d’un mystique enfoui depuis très longtemps. Et elle était prête à le trouver.
Juliette resta une circonstance figée, les clavier crispés sur les lignes jaunies du journal. L’air à proximité d’elle semblait plus lourd, tels que si la maison elle-même retenait son génie, suspendue à la confidence qui s’apprêtait à bien surgir du passé. Elle poursuivit sa lecture, son cœur battant au rythme des messages écrits on peut trouver plus d’un siècle. ' Chaque nuit, le cadran de lune projette des obscurités qui ne sont effectivement pas les miennes. Elles bougent, elles murmurent, elles attendent. Je sens leur présence en arrière caractère, même à dévier du instant ou je me perçois seule. Quelque chose s’est passé ici, des éléments qu’on a exigé rambiner. Mais je refuse de me taire. Je dois donner une empreinte. ' Juliette sentit un frisson la souffleter. AD voyance lui avait affirmé que certains cadeaux conservaient les échos du passé, qu’ils avaient l'occasion de se transformer en témoins silencieux de drames oubliés. Et ici, tout semblait porter qu’Adélie avait indiqué un croyant beaucoup lourd à bien porter. Elle tourna quatre ou cinq pages et tomba sur une phrase qui la glaça d’effroi : ' Si vous trouvez ce journal, sachez que je n’ai jamais quitté cette foyers. On m’a enfermée ici. Sous le cadran de lune, par-dessous la lumière de la lune, ma lapalissade attend d’être révélée. ' Juliette se redressa d’un bond, ses pensées s’entrechoquant. Que signifiait cette phrase ? Était-ce une portrait ou une estampille plus littérale ? Elle attrapa le cadran sélénite et l’examina marqué par toutes ses coutures. La composition en plaqué or paraissait éternel, mais en optant pour de plus autour, elle remarqua une fine fente sur le socle. Une cachette ? Une soin ? Poussée par une impulsion soudaine, elle retourna le cadran et glissa ses soi le long des métaux passif. Ses soi tremblaient sous l’excitation et l’appréhension mêlées. Puis, avec un léger clic, une partie du socle se souleva, révélant un compartiment illuminé. À l’intérieur, un seul rouleau de feuille était soigneusement enroulé. Juliette le prit attentivement et le déroula mollement. L’encre avait pâli, mais le envoi de signal était encore lisible. ' On m’a trahie. Mon engouement m’a enfermée ici, refusant de me imiter évacuer. Il a nouveau mon être, a fait se représenter que j’avais fui. Mais je me trouve extraordinairement là, entre ces murs. Si une personne peut trouver ce signal, dites la réalité. Que mon désignation ne soit plus effacé de l’histoire. ' Juliette sentit son cœur se endiguer. Adélie n’avait jamais quitté cette maison. Elle y avait persisté retenue tangent de son gratitude, et son histoire avait été sciemment effacée. Elle recontacta AD voyance, le goût court, peignant sa découverte. — Vous avez trouvé ce qu’elle désirait révéler, lui exprimé la voyante d’une voix grave. Son âme était prisonnière du silence et de l’oubli. Maintenant que la véracité a été mise au vie, elle pourrait pour finir redire en paix. Juliette ferma les yeux AD voyance une période, sentant un étrange quiétude l’envahir. Elle savait ce qu’elle devait faire. Le destinée, elle irait aux archives, elle parlerait aux anciens du village, elle écrirait l’histoire d’Adélie pour que son homonyme ne disparaisse plus jamais. Et alors qu’elle déposait le cadran sélénique sur la table, un léger dieu d’air parcourut la parure. Une présence. Une gratitude silencieuse. Adélie était enfin ample.